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Writer's pictureJean-Christophe DIMINO

Qui d'autre connaît le mieux mon métier ?

Engagé dans une démarche de vente ou d'achat, pourquoi se priver des recommandations d'un connaisseur de l'immobilier local ?



L'immobilier est l'un des sujets de conversation préférés des Français. Tout le monde n'a pas un projet de vente ou d'achat dans les cartons, mais chacun reste en éveil. En demande d'information. Et comme les expériences dans ce domaine ne manquent pas, on échange avec ses collègues de travail pour leur demander leur avis éclairé. On se tourne vers ses amis, sa famille, vers les médias aussi.


Subitement, on est sensible aux dernières couvertures de presse, à la moindre news, au moindre reportage qui parle d'immobilier. À la fin, on frôle l'overdose d'info, on finirait même par avoir la conviction d'avoir fait le tour de la question, d'avoir forgé son opinion. Mais, on consulte rarement un agent immobilier. Ou alors en dernier ressort. Pourquoi ? Parce que c'est ainsi. Question de confiance sûrement.


Pourtant, pensez-vous qu'un journaliste qui survole son sujet sans parfois même se déplacer, que votre collègue de bureau, votre tonton - qui a sans doute sa propre expérience - qui sais-je d'autre, sont mieux placés qu'un professionnel ancré dans la réalité d'un marché local ? Réfléchissez. En savent-ils plus ou moins que celui - ou celle - dont la mission est d'orchestrer semaine après semaine des transactions au long cours ?


Pensez-vous qu'un agent qui arpente le même territoire chaque jour, qui rencontre des dizaines de vendeurs chaque année, et autant voire plus d'acheteurs, qui est en contact avec quasiment toutes les études de notaires de la place, les courtiers, les entreprises de rénovation, les spécialistes du secteur, pensez-vous que sa voix porte dans ce domaine ? Un agent professionnel mérite-t-il d'être entendu à force d'être confronté aux exigences du terrain ? Je vous le dis - en toute subjectivité - oui, sa voix est précieuse. Et elle a d'ailleurs de la valeur.


En résumé, pourquoi se passer de cette mine d'information, de cette expertise locale ? Nous sommes, je suis, à la source de l'information. Aux premières loges. Que vous soyez dans un processus de vente ou d'achat, il serait dommage de vous priver de cette connaissance. Surtout dans un tel contexte de profonds bouleversements.


 




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